Brisures ; un fatras d'invendus
Tassés dans ta mémoire, oubliés
Qui te guident, te mènent par le nez.
Bastringues ; un amas de notes
suspendues
Biffées de ta mémoire, nécrosées
Qui t'obèrent, t'enlisent au passé.
Parfois, tu ouvres les persiennes
Doucement.
Que la lumière vienne ?
Mais elle est là, déjà !
La suite se dessine, un peu plus chaque
jour
Tu entrouves, refermes
Encore. Chaque jour.
Une fin de poème printanière.
RépondreSupprimerUn air de Vivaldi...
Une fin de poème printanière,
RépondreSupprimerUn air de Vivaldi...