Qu’y
a-t-il à côté
de
nos marbres, nos vases
le
silence érodé de nos pesants soupirs ?
Qu’y
a-t-il à côté
De
ces flasques victoires
Des
épousailles mortes et de glabres rochers ?
Qu’y
a-t-il à côté
De
tous les quadrillages
Des
trames incessantes aux reflets incestueux ?
Qu’y
a-t-il à côté
Que
je ne sais enclore
Qui
sans cesse m’échappe tant il me sait odieux ?
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